Auteur/autrice : lisa.mnct

  • Meta et Tiktok accusés de nuire à la santé mentale des adolescents : 14 Etats américains portent plainte

    Pourquoi j’ai choisi ce sujet :

    En cherchant sur Inoreader, je suis tombée sur un article de L’ADN dans la rubrique « médias mutants », le titre était plutôt parlant : « Accusés de nuire à la santé mentale des jeunes, Meta et TikTok dans le viseur de la justice ». Ce sujet m’a particulièrement interpellé puisque je voulais savoir ce qui leur était reprochés. J’ai donc décidé de faire mon article de veille sur ce sujet

    Contexte :

    Plusieurs plaintes ont été déposées accusant Tiktok et Meta d’avoir des fonctionnalités addictives qui nuiraient à la santé mentale des adolescents. Le 8 octobre dernier, quatorze États américains ont déposé plainte contre TikTok, affirmant que cette dernière avait menti en affirmant, « à tort », qu’elle était sûre pour les plus jeunes, d’après l’ADN. Le Figaro a ajouté que ces plaintes accusées aussi Tiktok de « collecter des données sans autorisation ». Le but des plateformes était de mettre en œuvre des fonctionnalités qui pousseraient les utilisateurs à rester le plus longtemps possible sur leurs réseaux sociaux.

    Quels impacts particuliers ces réseaux sociaux ont qui leur vaut ces accusations ?

    Les plaintes s’appuient sur des documents internes qui montrent que l’entreprise et les employés étaient au courant des fonctionnalités nocives de ces plateformes pour les jeunes utilisateurs. TikTok avait d’ailleurs déclaré que « l’utilisation compulsive est corrélée à une série d’effets négatifs sur la santé mentale, comme la perte des capacités d’analyse, de formation de la mémoire, de pensée contextuelle, de profondeur de conversation, d’empathie et d’anxiété accrue » selon l’ADN.

    D’autres faits leur sont reprochés comme inefficacité des outils permettant de limiter le temps d’utilisation, la dangerosité des bulles de filtre, les effets néfastes sur le sommeil, la médiocrité de sa modération, les notifications pouvant arriver à toutes les heures, ou encore que « l’algorithme [est] conçu pour créer une dépendance », selon Capital.

    Dans leur plainte, les Etats s’appuient sur des travaux scientifiques et annonce que l’utilisation de ces réseaux sociaux peuvent amener à « la dépression, l’anxiété, l’insomnie, l’interférence avec l’éducation et la vie quotidienne, et de nombreux autres résultats négatifs ».

    En attendant d’un possible procès, les plateformes Meta et Tiktok essaient de faire bonne figure au maximum. Ils ont d’ailleurs mis en place plusieurs nouvelles fonctionnalités. Tiktok a instauré des outils permettant une limitation du temps d’utilisation ainsi qu’une restriction de certains contenus jugés potentiellement nocifs. Concernant Meta, des comptes pour les 13 à 17 ans ont été mis en place sur Instagram. Ces comptes sont privés et les adultes qui n’ont aucun lien avec les jeunes possédant ces comptes ne peuvent pas leur envoyer de messages privés.

    Quelles conséquences judiciaires pourraient leur être infligés au vu des faits reprochés et du nombre d’Etats impliqué dans l’affaire ?

    Dans la plainte originale déposée auprès du Tribunal fédéral d’Oakland, les plateformes sont accusées d’avoir conçu leurs réseaux sociaux pour attirer les enfants et les adolescents à passer le plus de temps possible en ligne. Plusieurs Etats se sont joint à la procédure, après la Californie et New York, l’Illinois, le Mississippi, le Kentucky, la Caroline du Nord, la Caroline du Sud, le Massachusetts, le New Jersey, la Louisiane, le Vermont, le District of Colombia, l’Oregon ou encore l’Etat de Washington, ont suivi le mouvement.

    Méta et Tiktok se retrouvent donc une nouvelle fois dans le collimateur de la justice. Tiktok était déjà menacé d’interdiction sur le sol américain et fait malgré tout face à cette nouvelle vague d’accusations. Ainsi, l’avenir de TikTok aux États-Unis est plus qu’incertain. Au mois d’avril, une loi a été adoptée par le Congrès américain. Elle impliquait l’interdiction de l’application Tiktok si ByteDance (entreprise qui détient Tiktok) ne trouve pas un acquéreur américain dans les neuf mois. Ainsi, s’il n’en trouve pas d’ici deux ou trois mois, les conséquences pourraient être importantes pour le géant chinois.

    De toute façon, même si TikTok parvient à trouver un propriétaire américain, « les poursuites engagées par les 13 États ne seront pas abandonnées » selon PresseCitron. Malgré la médiatisation de ces accusations juridiques, le réseau social Tiktok reste plutôt silencieux pour le moment.

  • Nouvelle signature de la Charte d’engagement LGBT+ par l’ARCOM

    En lisant le résumé de l’article de l’ARCOM (l‘Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) : « L’Arcom signe à nouveau la Charte d’engagement LGBT+ de l’Autre Cercle afin de garantir un environnement professionnel inclusif » sur Inoreader, un chiffre m’a interpellé. J’ai vu que 4 travailleurs LGBT+ sur 10 estimait que leur carrière avait été impactée négativement à cause de leur orientation sexuelle ou leur identité de genre. J’ai trouvé ce chiffre ahurissant, c’est pourquoi je me suis intéressée à cet article de l’ARCOM qui signait à nouveau la charte LGBT+. De plus, je ne connaissais pas l’existence de cette charte, ni de cette association, j’ai donc décidé de me renseigner à leur sujet.

    L’ARCOM a décidé de signer à nouveau la Charte d’engagement LGBT+ de l’association l’Autre Cercle ce jeudi 26 septembre 2024. Elle l’avait signé une première fois en mars 2020, la signature était valable 3 ans, c’est pourquoi l’ARCOM pouvait, si elle le souhaitait, renouveler leur engagement. Concrètement, l’adhésion à cette charte montre que l’ARCOM s’engage à lutter contre les propos ou comportements homophobes au travail. Elle le déclare elle-même dans son article, l’ARCOM « sensibilise ses publics et concrétise ses engagements, auprès des opérateurs et usagers comme au sein de son organisation ».

    Mais à quoi sert réellement cette charte ? Quels résultats observe-t-on ?

    Le 31 décembre 2023, « plus de 250 organisations publiques ou privées avaient signé la Charte d’Engagement LGBT+ de L’Autre Cercle, touchant ainsi plus de 2 millions d’employé(es) en France » selon l’Autre Cercle. Depuis que l’Autre cercle a mis en place ces actions favorables à l’inclusion, les personnes LGBT+ sont moins nombreuses à être « victimes d’insultes ou d’injures à caractère diffamatoire » en passant de 16 % à 9 %, ainsi que « d’actes de violences physiques ou sexuelles » en passant de 10 % à 3 %, selon la 4ème édition du Baromètre LGBT+. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, cette charte a un impact fort et a des effets bénéfiques sur un grand nombre de personnes. Néanmoins, le harcèlement moral et sexuel, les refus d’embauche ou encore les licenciements restent présents, y compris dans le secteur audiovisuel.

    Le but de ces organisations n’est-il simplement pas d’avoir une bonne image ? Sans réelles actions derrière ?

    Ici, il n’est pas question d’image, mais de volonté de réaliser de réelles actions pour l’inclusion des personnes LGBT+. Quelques soit les motivations initiales à cette signature, les employeurs qui n’auraient pas respecté leurs engagements ne seront plus signataires à l’issue des 3 ans d’après l’Autre Cercle. Ainsi, lorsque des organisations signent cette charte, elles sont dans l’obligation de réaliser des actions pour améliorer l’inclusion des personnes LGBT+.

  • Révélation d’un mail confidentiel de Bernard Arnault imposant la censure aux membres du groupe LVMH

    L’information est tombée ce mercredi 18 septembre dans le journal La Lettre : Bernard Arnault, chef d’entreprise et milliardaire français, entrave la liberté d’expression.

    Le 17 janvier 2024, il aurait envoyé un mail confidentiel à son comité exécutif leur interdisant de communiquer avec 7 médias sortant de son canal de communication officiel : La Lettre, Glitz Paris, Miss Tweed, L’Informé, Puck (US), Mediapart et Le Canard Enchaîné. Cette « Blacklist » s’étend à « toutes les autres lettres confidentielles ou pages du même type qui existent ou qui pourraient être créées » cite Libération. Bernard Arnault expose l’idée d’une sanction sévère en cas de non-respect de cette règle car cela constituerait une faute grave, et il justifie cette recommandation par la protection des intérêts du groupe. Parlant des médias « dits d’investigations » comme se servant « de l’attrait du public pour le luxe afin d’attirer de manière racoleuse un nouveau lectorat », il suscite de forte réaction chez les journalistes du Monde. Ceux-ci manifestent leur soutien pour les médias visés et rappellent que leur rôle n’est pas de transmettre les informations officielles des entreprises.

    Nous pouvons souligner le manque d’objectivité du journal la Lettre, à l’origine de la révélation mais présent sur la « Blacklist ». Rappelons que Bernard Arnault possède les grand médias : Les Échos, le Parisien, Paris Match et Radio Classique. Ainsi, une censure supplémentaire sur d’autres médias influents constituerait un manque d’objectivité globale sur le groupe LVMH. C’est pourquoi, de nombreux médias critiquent cette interdiction considérée comme un manquement à la liberté d’expression et une pression sur les sources.

    Lisa Moncuit et Mémona Kowalczyk

  • L’axolotl, un amphibien pas comme les autres

    Source de l’image : lesitedesanimaux.com

    Cet animal est à la fois mignon et complètement flippant. Les axolotls peuvent par exemple se manger entre eux ou encore faire repousser certains de leurs membres sans laisser aucune cicatrice !

    Axolotl : particularité, modes de vie, + entretien, animal de compagnie, …

  • Mon premier article

    Mon premier article est le suivant :

    Wikipédia n’est pas une source !

    Fin de l’article.

    C’est un panda (géant)

  • Bonjour tout le monde !

    Bienvenue sur WordPress. Ceci est votre premier article. Modifiez-le ou supprimez-le, puis commencez à écrire !