Dans sa rubrique média, le Monde publiait hier un article sur le départ du directeur général de 20 minutes. L’annonce a été confirmée hier par les actionnaires, l’éditeur de presse belge Rossel et le groupe français SIPA Ouest-France. Ronan Dubois devrait quitter son poste à la fin de l’année 2025. L’article rapporte qu’il part après des tensions avec la rédaction, sur le mauvais traitement infligé aux salariés, qui s’était concrétisé par l’adoption massive d’une motion de défense en juillet dernier.
Cet article est intéressant puisqu’ il rappelle une option spécifique aux journalistes, trop peu connue du grand public, en cas de désaccord ou de l’estimation d’une mauvaise gestion de la part de la direction; la motion de défiance. Ici la motion a menée au départ du directeur de 20 min, mais ce n’est pas le cas a chaque fois .Car cette action ne dépend d’aucun cadre juridique et a seulement une visée symbolique, la personne visée n’a donc aucune obligation d’ordre légal. Par exemple, une motion de défiance avait été votée par la rédaction de France Inter contre Adèle Van Reeth a cause d’une modification de la grille peu justifiée et le licenciement de Guillaume Meurice. Pourtant celle ci est encore a la tete de France Inter rappelle un article du Huffpost en date du 12/07/2024.
Ok c’est intéressant.
Je commence par une remarque « pratique » dès le début de ton rendu, inclus le lien sur l’actu source (je pense que tu l’as oublié ici).
Tu as fais le choix de parler de motion de defiance en te basant sur deux exemples : 20 minutes, et France inter.
Je pense que tu aurais aussi pu etendre sur la thématique de la « valeur juridique » de la motion de défiance : par exemple en alant jeter un oeil au travaux du SNJ qui depuis plusieur années milite pour sa re conaissance (https://snj-francetv.fr/droit-de-veto-et-motion-de-defiance-nattendons-pas-pour-proteger-les-redactions/ ).
Mais ton sujet est intéressant.