Plus de deux milliards de caméras sont déployées en Chine, soit plus de la moitié des caméras du monde entier.
Une preuve d’un système de surveillance hors-nomes et une population plus que contrôlée. Entre agents spécialisés dans le contrôle de personnes dites problématique, détentions abusives et des enfants qui ne connaissent pas leurs parents, les dérives du régime de protection se prouvent par de nombreux témoignages poignants disponibles dans le reportage d’ARTE « sous l’oeil de pékin ».
Le témoignage direct d’un journaliste émigré en France déclare que le régime chinois « souhaite tout contrôler et pense pouvoir y arriver ».
https://www.ledevoir.com/monde/asie/787272/chine-la-societe-de-surveillance-made-in-china-ou-l-emprise-du-milieu?TIKTOK, l’exemple d’une surveillance internationale
L’exemple de l’application de Tiktok en est l’illustration parfaite. Au de là de sa propre population, celle-ci est accusée de surveillance par les services américains. Retrouvée sur le qui-vive lorsque le vote du sénat américain du 24 avril 2024 confirme que pour continuer d’exister aux états-unis Tiktok devait couper tout liens avec sa maison mère sous peine de voir son utilisation complètement interdite.
La Chine n’a pourtant pas prévu de changer ses méthodes pour le moment, la guerre de la surveillance chinoise ne semble pas être gagnée, ni par les habitants, ni par les états-unis.
Surveillance par caméra, notation individuelle… En Chine, un système de fichage de la population est testé dans des dizaines de villes. Il a pour nom "le crédit social".
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) September 24, 2019
🇨🇳 Chine, tout est sous contrôle !#EnvoyeSpecial jeudi 21h00 pic.twitter.com/k2MQvgW7x6
Laisser un commentaire