Ce mardi 16 décembre, la rédaction de la BBC reçoit dans ses bureaux une plainte pour diffamation et une réclamation de 10 milliards, initié par le président américain, Donald Trump.
Le président américain, Donald Trump demande presque 10 milliards de dollards à la BBC et porte-plainte pour diffamation à la châine anglaise. Pour un montage produit sur lui jugé trompeur peut-t-on lire dans un article du Monde datant du 16 décembre.
Confirmé aussi par l’article de Libération datant lui aussi du 16 décembre, le président républicain Donald Trump, demande effectivement 5 milliards de dommages et intérêts et pour chacun des accusés, diffamation et violation d’un loi de Floride sur les pratiques commerciales trompeuses et déloyales*. « Ils ont littéralement mis des mots dans ma bouche » se plaint le milliards, dans les colonnes du journal La Croix.
En ajoutant, le journal La Croix, détaille le sujet qui fait débat chez Donald Trump. D’après, des révélations sur son magazine phare d’information « Panorama ».
Ce dernier a diffusé, juste avant la présidentielle américaine de 2024, des extraits distincts d’un discours de Donald Trump du 6 janvier 2021 montés de telle façon que le républicain semble appeler explicitement ses partisans à attaquer le Capitole à Washington.
Des centaines de ses partisans, chauffés à blanc par ses accusations sans fondement de fraude électorale, avaient pris d’assaut ce jour-là le sanctuaire de la démocratie américaine, pour tenter d’y empêcher la certification de la victoire de Joe Biden.
« La BBC, autrefois respectée et aujourd’hui discréditée, a diffamé le président Trump en modifiant intentionnellement, malicieusement et de manière trompeuse son discours dans le but flagrant d’interférer dans l’élection présidentielle de 2024 », a dénoncé lundi un porte-parole des avocats du républicain.
« La BBC a depuis longtemps l’habitude de tromper son public dans sa couverture du président Trump, au service de son programme politique de gauche », a-t-il ajouté.
Une affaire qui a poussé au Royaume-Uni, au départ de Tim Davie et de la directrice de l’information de la BBC.
Mais le président américain, ne dit ne pas s’arrêté ici, il va intenté plusieurs actions en justice contre les médias américains.
Toutefois, le journal La Croix, mais l’accent sur la perte de vitesse dans le poids de l’information des journaliste qui suivent Trump, car il invite de plus en plus d’influenceurs à la Maison-Blanche et des « points presse » contournant les traditionnelles « conférence de presse » sont organisé qu’avec des influenceurs de réseaux sociaux, rapporte le Nouvel Obs (30 avril) et on peut se demander le poids du journaliste tradtionnel qui est menacé avec les coups d’attaque permanent de Trump. Le Monde cite dans son article datant du 25 février, que le président de la première puissance mondiale allait restreindre l’accès à la Maison-Blanche, qu’a des journalistes qui sont sur la même lignée de pensée que lui.
Néanmoins alors est-ce un acte déloyaux de la part de la BBC ou simplement une restriction et une continuité à la censure des médias de chez Trump ?
Telle est la question…
Ou va-t-il s’arrêter ? Après la restriction des médias aux Etats-Unis, Trump s’attaque aux piliers des démocraties européennes, les médias, qui vacillent.
*Cette loi vise à protéger les consommateurs et les entreprises légitimes contre les actes déloyaux, trompeurs ou anticoncurrentiels. Mais aussi à simplifier et clarifier, les règles de protection des consommateurs. Et enfin, la loi aussi aligne le droit de Floride sur les principes reconnus par la loi fédérale (notamment ceux de la l’agence fédéral américaine qui protège le droit des consommateurs et lutte contre les pratiques trompeuses).
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