Souhaite-t-on la mort des radios associatives en France ?
Alors que la ministre de la Culture, Rachida Dati en commission de la culture défendait son budget à 200 millions d’euros pour 2026. Les parlementaires ont oublié que dans ce budget du ministère, le FSER (Fonds de soutien à l’expression radiophonique) allait passer de 35,7 millions d’euros en 2025 à 25,7 millions d’euros soit -10 millions d’euros.
La campagne de communication du SNRL conjointement avec le CNRA alerte sur la disparition d’un tissu important de la liberté d’expression et de la démocratie. Car, plus généralement. Selon le syndicat représentant les associations française, le Mouvement français, et une étude de Ifop commandé par le Mouvement associatif. 87% des français soit 9 français sur 10 se disent satisfait de leur association sur le territoire, et que les associations sont le 2e acteur après le maire et les élus du bien-être territorial.
J’ai choisi cette campagne de communication, parce que je suis utilisateur de radio associative en tant que bénévole mais aussi auditeur. En Normandie, je suis bénévole dans un radio associative à vocation régionale qui s’appelle Espace Normandie.
Ce sujet fait parfaitement écho, car elle allient actualité des médias radiophonique spécifiquement et contexte politique avec le vote du Projet de Loi de financement de l’Etat (PLF) pour l’année 2026. Où le gouvernement prévoit des coupes budgétaires, un peu partout dans les ministères et ainsi cristallise le débat au Parlement.




