Lors de mes recherches en lien avec l’actualité des médias et des journalistes sur le site Inoreader je suis tombé sur cet article du quotidien national Le Monde. J’ai donc choisi ce sujet pour écrire mon article de veille, car les libertés liées aux journalistes me concernent en particulier mais concerne avant tout la population.
Dix ans après l’attentat du célèbre hebdomadaire de caricature français Charlie Hebdo. C’est de nouveau une entrave à la liberté d’expression par le dessin qui est soulevée de l’autre côté de l’Atlantique. Ann Telnaes travaillait pour le Washington Post depuis près de 17 ans. Alors que le propriétaire d’Amazon, Jeff Bezos, rachetait le journal six ans après son arrivée. La dessinatrice s’est écartée elle-même de ses fonctions le 04 janvier dernier. Sa démission fait suite au refus par le journal d’une de ses caricatures illustrant son propriétaire tendant de l’argent à une statue du président entrant Donald Trump.
Ce refus montre à la fois la mainmise des propriétaires sur leurs journalistes, entraînant un manque de liberté d’expression et aussi, en quelque sorte, un aveu de faiblesse en empêchant la publication de ce dessin par le journal. En effet, ce rejet illustre à quel point les riches propriétaires de grandes entreprises américaines ont besoin de l’arrivée de Donald Trump pour continuer à accroître les résultats de leurs entreprises.
Les menaces à la liberté d’expression cesseront-elles un jour, malgré l’arrivée de nouveaux propriétaires ne souhaitant pas, être par exemple caricaturés ?