Lors de mes recherches en lien avec l’actualité des médias et des journalistes, je suis tombé sur cet article de l’association Reporters sans Frontières (RSF). Un article qui semble de nouveau être à première vue un coup de communication mais qui montre en fait la réalité qui se cache derrière l’avancée du groupe M23 en République Démocratique du Congo. J’ai donc décidé de poursuivre mes recherches sur ce sujet afin de mieux comprendre la situation subie par les journalistes et les médias là-bas.
Petit rappel des faits, actuellement a lieu en République Démocratique du Congo un déplacement important de population à cause de l’avancée du groupe de rebelles M23. Cette rébellion a conduit au décès de deux journalistes dans le Nord-Kivu et a un nombre conséquent d’agressions contre les journalistes. S’ajoute à cela le fermeture, la censure ou le contrôle d’une vingtaine de radios communautaires réduisant encore la liberté d’expression dans le pays.
Pour contrecarrer cette limite a la liberté d’expression l’association RSF offre aux journalistes un lieu plus sûr pour exercer leur métier en toute sécurité. Complété par des sessions de formations à la sécurité physique et corporelle qui sont également proposées par l’association pour aider les journalistes dans leur métiers.
Avec la potentielle continuité de l’avancée rebelle on peut supposer que la liberté d’expression et l’intégrité des journalistes Congolais est menacée dans un futur proche. Reporters sans Frontières peut-elle maintenir cette obligation malgré le développement des groupes rebelles dans les différents pays du globe ?