Lors de mes recherches en lien avec l’actualité des médias et des journalistes, je suis tombé sur cet article de l’association Reporters sans Frontières (RSF). Un article qui, à première vue, pourrait sembler être de la publicité camouflée, mais qui met en réalité en lumière un problème bien visible : la liberté d’expression. J’ai donc choisi de poursuivre mes recherches sur ce sujet qui ne cesse de s’aggraver chaque jour.
L’article rappelle notamment les faits survenus au Pakistan, au Bangladesh et, plus récemment, à Gaza. Il met en question la liberté de 539 journalistes et souligne la forte croissance de la désinformation, exacerbée par le manque de régulation des plateformes en ligne et l’absence de traçabilité de l’information.
À cela s’ajoute la tribune du média Reporterre, qui informe qu’un de leurs journalistes pigistes est actuellement poursuivi par la justice. Celui-ci accompagnait, dans le cadre de son travail, un groupe de militants. Cet événement illustre un contexte inquiétant de restriction à la liberté d’informer. Selon Reporterre, “la liberté du travail d’informer est vitale pour la démocratie.”
En résumé, selon RSF, 539 journalistes sont actuellement emprisonnés dans le monde. Par ailleurs, un journaliste en France est poursuivi par la justice alors qu’il exerçait son métier sans, selon son employeur, enfreindre la loi. À cela s’ajoutent près de 150 journalistes tués depuis un an sur la bande de Gaza, un manque de fiabilité de l’information de plus en plus fréquent sur internet, et la montée des régimes censurant le droit à l’information, qui tendent à devenir majoritaires en Asie.
La liberté d’informer et d’être informé est-elle menacée, ou a-t-elle encore de beaux jours devant elle ?