J’ai choisi de traiter la rumeur selon laquelle Kamala Harris va exposer les preuves d’une fraude électorale massive. Depuis la défaite de la candidate démocrate, les rumeurs filent dans tous les sens. Dernière en date, une rumeur visant a attaquer le 47e président des Etats Unis. J’ai trouvé cet article dans la rubrique « médias mutants » de L’ADN.
Le média parle d’une inversion des rôles : c’était le camp Républicain qui, en 2020 avait proposé ces fakes news de « plan secret et de personnalités politiques qui devraient bientôt se retrouver derrière les barreaux » suite a la défaite du milliardaire.
Ces fake news existeraient par « la déception et le manque d’explication logique derrière la victoire de Donald Trump » selon la journaliste Taylor Lorenz.
Je m’interroge sur les tenants de ces rumeurs, de leur possible impact. Cet article me fait aussi penser au médias de divertissements comme Tik Tok qui touchent un public monstre et a leur « puissance » dans la diffusion de fausses informations. J’en parlais dans un autre article, la frontière entre journaliste et créateur de contenu est toujours plus floue avec un mélange des mondes.
Cette rumeur est apparue a la suite de la défaite de Kamala Harris. Sa défaite assurée à 11h25 en France a fait beaucoup réagir. Déjà pendant leur campagne électorale, nombre de tentatives pour déstabiliser le camp adverse avaient été observées. LeHuffPost titre le 25 Octobre « Les « fake news » font partie de la présidentielle américaine » et met en avant ces pratiques.
Selon Libération, dans un article sur les modes de consommation de l’information par les jeunes : « 70 % des 15-34 ans utilisent quotidiennement les réseaux sociaux pour s’informer – Instagram, TikTok et Snapchat ». A un âge ou l’opinion et le cerveau est facilement malléable, comment protéger les jeunes des fausses informations. C’est encore un problème similaire a un âge plus élevé, ou l’on se retrouve noyé sous une masse d’information. Trop d’information ? Quelle qualité ? Quelle légitimité ?
La question des fakes news reste aujourd’hui majeur dans le paysage médiatique mondial. Les réseaux sociaux permettent a tous de partager de l’information sans vérification (ou partielle) ce qui laisse forcément passer des mauvaises informations voire des fausses. Plus que des erreurs, elles peuvent être des armes contre des personnalités, des institutions, des gouvernements, etc…
Marianne dénonçait le 5 novembre un groupe de cyber criminels russes a l’origine de la création d’une fake news vidéo virale sur les réseaux mettant en garde de ne pas la croire et de la signaler. La vidéo a été fact checkée par les fact checker de l’AFP.
donc ton sujet c’est les fake news.
tu t’interoge sur les fake news en fonction de l’age.
ça aurait été interessant de creuser ça par exemple
pour info : la reponse est oui
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-une-de-la-science/les-plus-de-65-ans-partagent-sept-fois-plus-les-fake-news-que-les-plus-jeunes-2201310