Ces dernières semaines, plusieurs médias majeurs ont décidé de quitter définitivement X (ex-Twitter), citant des raisons liées à la gestion controversée d’Elon Musk. Parmi eux, The Guardian au Royaume-Uni, La Vanguardia en Espagne, et plus récemment, Ouest-France, premier quotidien régional français comme nous l’explique le média LE MONDE dans un article publié hier. Cette vague de départs souligne une rupture grandissante entre médias et réseaux sociaux.
Les critiques envers X : désinformation et harcèlement
Les médias reprochent à X d’avoir favorisé la propagation de la désinformation et de ne plus garantir la sécurité des utilisateurs. François-Xavier Lefranc, président du directoire d’Ouest-France, a dénoncé des « règles biaisées » qui amplifient les contenus douteux tout en réduisant la visibilité des sources fiables. La suppression des certifications gratuites, remplacées par des badges payants, a renforcé ces déséquilibres. Lefranc regrette également l’impact sur le débat public, qu’il considère vital pour la démocratie plus global selon RSF (d’après un article de 20minutes)
Pour Reporters sans frontières (RSF), ces départs ne sont que la partie émergée d’un problème plus large : l’incapacité des démocraties à réguler efficacement les plateformes numériques. Vincent Berthier, responsable chez RSF, estime qu’Elon Musk incarne « le visage radical du cauchemar informationnel » qui règne sur les réseaux sociaux. Il souligne également que les initiatives comme le Règlement sur les services numériques (DSA) en Europe n’ont pas eu l’impact escompté pour garantir des espaces numériques fiables et neutres .
Quel avenur les réseaux sociaux ?
Ces départs posent une question cruciale : comment les médias peuvent-ils repenser leur stratégie numérique ? Si certains, comme Ouest-France, choisissent de limiter leur présence sur X en privilégiant des contenus vérifiés dans leurs propres articles, d’autres pourraient se tourner vers des plateformes alternatives comme Bluesky. Cependant, l’absence de régulation solide risque de fragiliser davantage la circulation de l’information fiable en ligne .
Le choix des médias de quitter un enjeu majeur : préserver l’éthique et la qualité de l’information dans un écosystème numérique de plus en plus hostile aux principes journalistiques.
Je ne comprends pas tes dernières phrase »
Cependant, l’absence de régulation solide risque de fragiliser davantage la circulation de l’information fiable en ligne .
Le choix des médias de quitter un enjeu majeur : préserver l’éthique et la qualité de l’information dans un écosystème numérique de plus en plus hostile aux principes journalistiques. »
donc les médias quittent les réseaux sociaux : et ?
je ne vois pas quelle est la problématique que tu veux faire ressortir de ton article