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Après Musk et Bezos, Mark Zuckerberg, patron du groupe Meta, se range derrière Trump

L’annonce du soutien de Mark Zuckerberg à Donald Trump, bien qu’implicite, a provoqué une onde de choc dans les médias. Ce soutien s’est notamment manifesté par des décisions stratégiques de Meta, telles que la suppression du programme de fact-checking et un assouplissement des politiques de modération sur Facebook et Instagram. Ces gestes, accompagnés d’un don d’un million de dollars pour l’investiture de Trump et de nominations d’alliés républicains à des postes clés, ont été perçus comme un alignement idéologique avec l’ancien président américain. Ces actions soulèvent des questions sur l’avenir de la régulation des contenus en ligne et sur le rôle des plateformes dans les processus démocratiques.

Le traitement médiatique de cette annonce a varié selon les sources. France 24 a insisté sur une stratégie politique visant à séduire les conservateurs, tout en dénonçant un affaiblissement des mécanismes de lutte contre la désinformation. BFMTV a mis en lumière un changement radical dans la philosophie de Meta, interprétant ce virage comme une adhésion à la vision trumpiste de la liberté d’expression. Enfin, Reporters sans frontières (RSF) a adopté une position critique, qualifiant ces décisions d’attaques contre les médias et les fact-checkeurs, et alertant sur les risques pour l’intégrité journalistique. Ces analyses reflètent une inquiétude généralisée face à l’influence croissante des plateformes sur le débat public.

Cependant, plusieurs limites se dégagent du traitement médiatique. Peu d’articles explorent les impacts globaux de ces décisions, notamment dans des régions où la désinformation peut avoir des conséquences dramatiques, comme en Afrique ou en Asie. De plus, le débat autour de la liberté d’expression manque parfois de nuances : il aurait été pertinent d’examiner les tensions entre modération et censure sous un angle philosophique ou juridique. Enfin, les motivations économiques derrière ce rapprochement avec Trump restent largement sous-analysées, alors qu’elles pourraient éclairer les raisons profondes du positionnement de Zuckerberg. Une approche plus approfondie et diversifiée aurait permis de mieux cerner les enjeux complexes liés à cet événement.

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Bilan 2024 : Reporters Sans Frontières déplore une « intensification alarmante des attaques contre les journalistes »

Le rapport de 2024 de Reporters sans frontières dresse un tableau sombre de la situation des journalistes dans le monde. Les attaques contre les professionnels des médias se sont intensifiées de manière alarmante, notamment dans les zones de conflit. RSF alerte notamment sur les attaques contre les journalistiques dans la bande de Gaza. Plus de 145 journalistes y ont été tués par l’armée israélienne en quelques mois. Parallèlement, le nombre de journalistes emprisonnés à travers le monde a considérablement augmenté, témoignant d’une régression de la liberté de la presse. Face à cette situation critique, RSF appelle à une mobilisation urgente de la communauté internationale pour protéger les journalistes et garantir leur sécurité.

Source : Reporters Sans Frontières

Le rapport de RSF met en lumière une situation alarmante pour la liberté de la presse et la sécurité des journalistes dans le monde en 2024. Il est particulièrement intéressant car il révèle une augmentation significative des attaques contre les professionnels des médias, notamment dans les zones de conflit. Le rapport souligne spécifiquement la situation critique à Gaza, où un nombre sans précédent de journalistes ont perdu la vie. De plus, il met en évidence une tendance inquiétante à l’emprisonnement des journalistes dans plusieurs pays. Ces données fournissent un aperçu crucial des défis auxquels sont confrontés les journalistes et soulignent l’urgence d’une action internationale pour protéger la liberté de la presse et la sécurité des professionnels des médias.

La publication du bilan annuel à trouver un écho au sein de nombreuses rédactions. France Info choisit d’axer son article sur les 54 journalistes morts en 2024 et sur les journalistes disparus. France24 préfère évoquer les journalistes morts à Gaza et la réaction du porte parole d’Israël relevé par l’AFP. Agence Média Palestine, média de soutien à la Palestine, évoque également la situation à Gaza mais raconte le témoignage d’un correspondant d’Al-Jazeera. Enfin, Les Echos choisissent également de traiter de la situation à Gaza en évoquant les journalistes incarcérés a ce jour.

Le traitement global de cette information est interessant et montre assez rapidement l’interêt des journalistes pour la situation à Gaza. De plus, les articles tombent assez rapidement dans la reprise quasi mot pour mot du rapport de RSF, sans en interpréter les causes ou les conséquences que ces atteintes à la liberté de la presse peuvent avoir.

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Polynésie française. En 2025, la presse nationale et internationale en arrêt.

Ce lundi, Hachette Pacifique annonce, par une simple note aux buralistes, qu’ils arrêteront la distribution de la presse nationale et internationale en Polynésie française à partir de janvier 2025. Dernière acte de la longue agonie de l’accès à l’information en Polynésie française, le groupe Hachette France, unique distributeur local, n’a pas répondu aux sollicitations de l’Agence France Presse (AFP) mais sollicitait, en mars, une aide auprès du Haut-Commisariat de France en Polynésie, déplorant un service « largement déficitaire »

Source : Le Monde

L’information souligne d’une part le rôle que jouent les entreprises de distribution de presse dans la diffusion de l’information mais également l’impact de la crise économique et politique sur la presse en Polynésie. Sur ce premier point, on peut considérer tout d’abord la question des hégémonies dans ces secteurs. Hachette Polynésie, ici en situation de monopole sur la distribution de la presse extra-polynésienne, n’a pas les moyens d’assurer cette mission, subissant encore les contrecoups de la crise Covid. Le second point interessant est l’influence de l’isolement du territoire tant géographique qu’administrative sur la distribution de la presse. Le Monde place cette annonce dans le contexte plus large de la lente agonie dont souffre la distribution de la presse en Polynésie depuis 2020. L’une des raisons de cette décision est l’absence d’aides à la distribution par l’État contrairement à la métropole.

La disparition des quelques 600 titres de presses nationaux et internationaux à eu un large traitement médiatiques mais sous des angles relativement similaires et certains passages copiés de la dépêche de l’AFP. Certains médias comme Libération, Sud Ouest ou Le HuffPost évoquent les alternatives envisagées par les Messageries Lyonnaises de Presse (MLP) en partenariat avec France Messagerie comme une distribution partante de Nouvelle-Calédonie. L’un des seuls journaux qui sera encore disponibles dans les kiosques, Tahiti Infos, traitent l’information sous l’angle de l’impact qu’aura cette décision sur les buralistes ainsi que sur ce qui sera encore disponible à la vente.

Le sujet de l’arrêt de la distribution des titres nationaux et internationaux et je trouve qu’il n’a pas été traité assez en profondeur. À mon sens, il aurait été pertinent d’angler sur les réactions des autorités locales qui considère que la collectivité « n’a pas à se substituer aux acteurs privés » sans évoquer l’impact sur le débat démocratique. On aurait également pu évoquer la raison de la situation de monopole dont bénéficie Hachette Polynésie ou encore l’abandon de l’État sur ce secteur. Enfin, axer sur l’impact qu’aura cette décision sur la presse de proximité comme Tahiti Infos aurait également été pertinent.

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The Guardian fait une croix sur X.

Le 13 novembre , le quotidien britannique annonce, dans une lettre ouverte à ses lecteurs, son départ de la plateforme X, anciennement Twitter. Premier grand média à prendre cette décision, le journal de centre gauche se défend en dénonçant l’aspect « toxique de la plateforme. » Ce choix fait suite à la politique de soutien massive par son dirigeant Elon Musk au candidat Donald Trump et la multiplication de fausses informations sur la plateforme. Le magnat de la Sillicon Valley leur réponds : « Ils sont inutiles. »

Source : Le Figaro.fr

L’information témoigne ainsi de deux choses sur le rapport qu’entretient X avec les médias. D’une part, d’une politique « anti-médias » menés par Elon Musk depuis plusieurs années au profit de d’un modèle de plus en plus libéral. Or, la plateforme était prisée depuis par sa création par les journalistes et leurs employeurs. D’autre part, la plateforme opère un tournant politique majeur, particulièrement visible lors de la campagne présidentielle américaine. Cette prise de position en faveur du candidat républicain Donald Trump s’est faite au travers de la diffusion de fake news, publier en premier lieu sur la page du PDG Elon Musk. La question qui pourrait alors se posée est de savoir si un média comme The Guardian peut encaissé la perte de visibilité que va engranger une telle de décision. En réalité, l’audience fait par les médias par le biais d’X est assez limitée. Le Figaro déclare par exemple « moins de 1% de leur audience » sur la plateforme. Cette idée est également défendue par The Gardian, qui déclare que son modèle économique est en capacité d’amortir les pertes d’audiences.

Le choix du quotidien britannique a été largement repris dans les médias. Si Le Figaro axe sur le fait que les autres médias conservent leur présence sur la plateforme, France 24 va quant à lui mettre en avant les dérives réactionnaires de la plateforme depuis l’arrivée d’Elon Musk à sa tête. Le Journal Du Dimanche choisi d’angler sur le modèle économique du journal, lui permettant de se détacher de cette part d’audience potentielle à laquelle les ouvrait X. Enfin, France Info souligne une décision longuement réfléchie et mise en application après le soutien appuyé d’Elon Musk à Donald Trump. On observe ainsi que le traitement de cette information se fait principalement par deux axes : celui de la capacité du journal à se défaire du réseau et du fait qu’X est de moins de moins une application en accord avec la déontologie journalistique. Laplupart des médias reprenant par ailleurs les grands arguments de la lettre ouverte et développe certains points.

Le départ du Guardian de la plateforme X aurait également pu être traité sous l’angle de la valeur dont bénéficie encore un média de référence comme The Guardian sur X qui a tendance à mettre au même plan l’information vérifiée ou non. Il aurait également été interessant d’aller plus loin dans la réflexion du Figaro en se questionnant si, au delà du potentielle déficit économique, le Guardian ne perd pas une part d’audience, souvent jeune, qui s’informe par X en suivant des médias de référence. Pour pousser la réflexion, il aurait été pertinent de questionner le vide laisser à la désinformation par le départ des médias de références (The Guardian mais également La Vanguardia ou Ouest France) notamment à l’heure de la nomination de Musk au gouvernement Trump.

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Le Washington Post, indécis dans l’élection américaine

À 10 jours de l’élection américaine, le directeur général William Lewis annonce que le Washington Post rompt avec le traditionnel soutien au camp démocrate. Ce dernier affirme par la même occasion la nouvelle politique de neutralité du quotidien américain pour les élections à venir. La déclaration provoque dans les jours qui suivent la résiliation de 400 000 abonnements. Jeff Bezos, propriétaire du journal depuis 2013, est immédiatement accusé d’ingérence par deux journalistes du quotidien. Le même jour avait lieu une rencontre entre le directeur de Blue Origin, sa filiale aérospatiale, et Donald Trump, candidat républicain.

Source : Le Monde

L’information témoigne ainsi de la tension que soulève les élections présidentielles au sein de l’opinion public. En annonçant sa nouvelle ligne éditoriale de neutralité en période électorale, le Washington Post provoque un taulée médiatique et une large vague de mécontentement. D’une part, issue de la tradition journalistique américaine, l’appel aux votes des rédactions est extrêmement surveillé, notamment lors d’élections comme celle-là où les candidats se talonnent et où les enjeux sont inédits. D’autre part, les résiliations massives d’abonnement sont révélatrices d’une crise de la confiance dans les médias traditionnels. En effet, dans une élection où « les médias « authentiques » ont pris le pas sur les médias traditionnels« , le choix du « WashPo » d’abandonner ce qui est l’un de ses critères de référence interroge et soulève des soupçons d’ingérence. En effet, cette crise de confiance est également traversée par l’influence des milliardaires sur les médias avec, par exemple ici, Jeff Bezos soupçonné d’ingérence.

La soudaine neutralité du quotidien américain et les réactions d’indignations des abonnés ont largement été traités dans les médias anglo-saxons et français. Le Figaro présente un traitement de l’information relativement similaire à celui du Monde. Le quotidien conservateur choisit en effet de mettre en avant la vague de mécontentement subie par le quotidien, la source syndicale accusant l’ingérence de Jeff Bezos mais évoque également une source anonyme à la direction prenant le contrepied de cet argument. Entre le Guardian et le New York Times, chacun choisit son camps. Le quotidien britannique dresse la liste des soutiens du Washington Post et accuse ouvertement le propriétaire d’ingérence. De son côté, le concurrent historique du « Post« , le New York Times laisse la parole aux lecteurs mécontents dans sa rubrique Opinion – Letter. La plupart dénonce l’erreur de jugement de la rédaction de ne pas prendre position dans un tel contexte de polarisation. Le traitement de cette information par les médias généralistes tourne donc autour de trois angles: le soupçon d’ingérence de Jeff Bezos, la vague de mécontentement résultant de la déclaration et son impact en tant que média de référence dans le contexte politique.

D’autres angles auraient été pertinents sur la question tels que l’origine de la tradition de prise de position des rédactions américaines avant une élection, l’explication des intérêts poussant Jeff Bezos a vouloir se rapprocher de Donald Trump ou encore l’influence réel des appels aux votes des médias lorsque ceux-ci semblent être passé au second plan du jeu politique américain .

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La belle fille du président chez Touche Pas à Mon Poste: le mariage médiatique Bolloré-Macron ?

Fille de Brigitte Macron, Thiphaine Auzière est intervenue pour la première fois en tant que chroniqueuse dans l’émission phare de C8, jeudi 10 octobre. Plus largement coutumière des médias bolloréens depuis l’élection d’Emmanuel Macron, l’influence de beau-papa interroge le monde médiatique sur cette soudaine exposition.

Invitée en 2020 dans l’émission « Cartes Blanches » d’Europe 1, en février 2024 dans un portrait de Paris Match (média appartenant à Bolloré) avec sa mère puis en tant que chroniqueuse juridique chez Cyril Hanouna en octobre, Tiphaine Auzière multiplie ses dernières années les interventions dans les médias du milliardaire Vincent Bolloré. Au delà de sa carrière de juriste, Thiphaine Auzière suit de près le parcours de son beau-père depuis les élections législatives en 2017.

Suppléante LREM dans le 4e circonscription du Pas-de-Calais, elle devient également « marraine des nouvelles technologies juridiques » du think-tank Juristes En Marche en 2017 et co-anime une réunion dans le Pas-de-Calais dans le cadre du grand débat national en 2019. Une carrière politique donc largement construite autour de celle de son beau-père. Pourtant, cette relation familiale et professionnelle entretenue avec le président est oublié chez « Cartes Blanches » à Europe 1 et vaguement évoquée lors d’une invitation chez Cyril Hanouna en mai puis omise totalement depuis sa première apparition en tant que chroniqueuse à TPMP. Et si cette relation est citée, c’est dans le pathos chez Paris Match. Dans un entretien consacré à l’avocate et mère de famille en février, cette dernière se confie sur le divorce de ses parents, sa passion pour le cheval ou encore l’élitisme et l’entre soi des prépas parisiennes. Suite à des apparitions furtives et promotionnelles, notamment à la sortie de son livre Assises en mai dernier, c’est à TPMP que la belle fille de Macron choisit de faire son rond de serviette. Mais alors, pourquoi ? Pour TPMP, la réponse est plutôt évidente pour Le Point: après les sanctions de l’Arcom, Hanouna a plutôt interêt à « professionnaliser » son émission. Thiphaine Auzière a le profil parfait: juriste, habituée du milieu et surtout on ne peut plus proche de la macronie, courant modéré dont l’émission à tendance à s’éloigner. Mais, la belle fille du président tiendra-t-elle la route dans le rôle de « l’enfant sage » reprise constamment par Hanouna et surtout dans une émission dont les jours sur la TNT sont comptés ?

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BFMTV: La nouvelle stratégie d’endormissement de Saadé.

Pourquoi j’ai choisi cette information ? 

Cette dernière m’a interpellé car je trouvais intéressant la tendance récurrente des “grandes” chaîne à diffuser de l’info à rallonge la nuit alors que ces dernières se revendiquent de produire de l’information pluraliste dans le respect du règlement de l’Arcom. 

Comment les journaux TV profitent du règlement de l’Arcom pour tirer profit des temps de parole ? 

Et voilà pour ces rattrapages de temps de parole politique: Lâché par Thomas Joubert, présentateur de BFMTV, ces mots font directement écho à la longue succession de discours politiques diffusés par le Journal de la nuit, émission nocturne de BFMTV. L’objectif : compenser les déséquilibres de temps de paroles des différentes forces politiques. L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) est pourtant claire : “Les éditeurs de services de radio et de télévision respectent le principe de pluralisme” c’est-à-dire de garantir un tiers de temps de parole à l’exécutif et deux tiers aux autres formations politiques hors des périodes électorales.

Néanmoins, l’ex-CSA ne prenant pas en compte les différentiels d’audiences mais seulement l’ensemble des temps de parole peu importe l’émission, les chaînes comme LCI, CNews, Quotidien et dernièrement la chaîne rachetée par le milliardaire Rodolphe Saadé. Rapportée par Arrêts sur Image, la pratique fut donc récemment mise en pratique par la chaîne appartenant depuis le 2 juillet au groupe Altice Média. Le nouveau propriétaire condamnait par ailleurs, une potentielle “attitude agressive vis-à-vis de l’actionnaire” 4 mois avant le rachat. Les rapports de temps de parole de BFMTV depuis le rachat ne sont néanmoins pas disponibles avant la fin du trimestre.

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BIGLAF, un nouvel exploit du rappeur La Fève ?

Paru sans préambule dans la nuit du 6 septembre, la dernière mixtape du Mc fontenaysien n’en est pas moins impactante. Seulement 9 mois après 24 et le disque d’Or qui suivit, le rappeur continue sur sa lancée avec une écriture chirurgicale alternant entre mélodie et kickage, le tout assurée par des producteurs de qualité.

À 25 ans, La Fève se démarque par une productivité hors-norme: pas moins de 4 projets en 4 ans. Cette aciduité lui a permis de s’imposer comme figure de proue de la new wave au côté de rappeurs comme Khali, 9ueve ou encore NeS. Ce mouvement apporte un vent de fraîcheur au rap français tant grâce à des influences transatlantiques que francophones comme Hamza ou Laylow.

Marqué par le volonté d’expérimenter, BIGLAF ne fait pas défaut au genre. La Fève fait le choix dans ce projet de multiplier les producteurs de renom (Tarik Azzouz, Kosei, Lyele ou encore Ikaz Boi), ces derniers permettent au rappeur d’exprimer toute sa palette technique.

BigLAF, titre éponyme de la mixtape du rappeur francilien La Fève

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