L’information est parue la semaine dernière : l’École supérieure de journalisme de Paris (ESJ) a été rachetée par un groupe de propriétaires de médias conservateurs, parmi lesquels figurent Vincent Bolloré et Rodolphe Saadé. Cette nouvelle forme d’emprise médiatique de la part de ces propriétaires pose des questions sur l’indépendance académique de l’ESJ. Cette institution est l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses, malgré le fait qu’elle ne fasse pas partie des 14 écoles reconnues par la profession.
Cette nouvelle est intéressante à analyser, puisqu’elle met en lumière la fine ligne qui sépare désormais l’éducation du pouvoir médiatique. En particulier pour cette école, qui a formé de nombreuses générations de journalistes et qui tombe désormais entre les mains d’acteurs controversés dans le milieu médiatique. On le voit, par exemple, avec Vincent Bolloré, connu pour ses positions conservatrices et ses choix éditoriaux polarisés. Il est désormais nécessaire d’analyser comment l’influence économique et idéologique pourra impacter la formation des futurs journalistes, ce qui influencera directement l’évolution de la presse et la liberté d’expression qui en découlera.
Enfin, dans la manière de traiter cette information, il serait intéressant d’analyser si ce cas de figure s’est déjà présenté dans d’autres pays comparables à la France. Tout cela en observant les répercussions sur la liberté de la presse et la pluralité médiatique dans ces pays. De plus, il serait aussi pertinent d’observer comment cette nouvelle a été accueillie par la communauté des journalistes, en allant jusqu’à consulter les réactions des journalistes travaillant pour les médias de ces investisseurs, afin de voir de quelle manière cette information peut influencer le monde médiatique, y compris au sein de ces rédactions.
Salut,
Fait gaffe a tes mots : « bénéficier de financements » et être racheté par un groupe sont deux choses différentes.
en coclusion tu me dis « Enfin, dans la manière de traiter cette information, il serait intéressant d’analyser si ce cas de figure s’est déjà présenté dans d’autres pays comparables à la France. Tout cela en observant les répercussions sur la liberté de la presse et la pluralité médiatique dans ces pays. De plus, il serait aussi pertinent d’observer comment cette nouvelle a été accueillie par la communauté des journalistes… »
c’est là que j’aurais aimé avoir un lien ou deux