Un début d'année 2024 inattendu, avec des incertitudes.

L'année 2024 commence un nouveau tournant, en effet début d'année 2023 la sécheresse était le sujet le plus discuté pour cette période, or pour ce début de la nouvelle année, ce n'est pas ce sujet qui est dans la conversation. Ici, débute une période excessivement pluvieuse, avec des nappes phréatiques plus que pleine. Malgré tout, il reste des incertitudes sur la période où la question posé est: Est-ce que 2024 sera une année pire que 2023 ?

Pour débuter cette veille info, nous allons utiliser en premier article, celui du Parisien sorti 29 Décembre 2023. Ce journal a dernièrement sorti un article où un hydrogéologue, Henri GOT, s’exprime dessus pour parler des Pyrénées-Orientales. Cet article est intéressant car il met en avant ce spécialiste géologie marine, donc par cette article, il y a une expertise sur le sujet: « Henri Got, hydrogéologue : « Dans les Pyrénées-Orientales, la situation de l’eau sera pire en 2024 qu’en 2023» – Le Parisien« . 

Les réponses apportés par GOT Henri ne sont pas rassurante car comme il l’as expliqué, sur les Pyrénées-Orientales, il risque d’avoir les mêmes problèmes de sécheresses que l’année passées et/ou même pire. Comme il l’as dit « Normalement le rechargement des nappes se produit à l’automne. Or la recharge n’a pas commencé. Dans le meilleur des cas, on a raté la moitié de la période de recharge des nappes. On note à la fois un déficit des nappes et des eaux de surface »  donc, selon lui, nous serons au même stade que l’année dernière.

Le prochain article relevé est un article venant de Euronews, publié ce 9 Janvier 2024 dernier : »Inondations, sécheresse, hausse des prix : que nous réserve El Niño pour 2024 ? | Euronews » . Au départ, il a été écrit en anglais puis il a été traduit. Ce qui est intéressant dedans c’est qu’il y a également l’intervention d’une organisation, L’Organisation Météorologique Mondiale. L’intervention de cet organisme est important car c’est eux qui ont parlé de El Nino, un phénomène climatique qui se caractérise par des températures élevées de l’eau dans la partie de l’Océan Pacifique sud, représentant une extension vers le sud du courant côtier saisonnier chaud du même  nom au large du Pérou et de l’Equateur. Ce phénomène participerait au déplacement de la sécheresse sur les pays. 

Pour revenir sur l’intérêt de l’article, c’est que les effet liés a ce phénomènes, selon des experts, vont apportés une sécheresse intense surtout en Amérique Centrale et Amérique du Sud. Donc ça rejoindrait l’hypothèse du premier article sur les effets de la sécheresse qui seront surement encore présentes cette année.

 

Le dernier article présenté dans cette veille, est une nouvelle information sorti ce 11 Janvier 2024 par LeMonde. Il fait référence au faite que l’Afrique est un pays qui est « épicentre des crises humanitaires mondiales: « En 2024, l’Afrique, épicentre des crises humanitaires mondiales (lemonde.fr) » . L’intérêt seulement de cette article est de rappeler qu’étant un continent pas très développé avec des pays très pauvres, ils sont plus « en proie » d’avoir encore des cas de sécheresse et en général des crises sanitaires. Donc les experts ont peur des conséquences si El Nino revient. 

 

En conclusion, les situations sont mieux pour la France en tout cas, ils n’ont plus trop de sécheresse étant donné que les nappes phréatiques sont pleines. Il reste beaucoup de crainte par rapport au phénomène El Nino  qui pourrait ramener de la sécheresse pour plusieurs pays.