Zoé Cencier, 18 ans, originaire de Laval, débute cette année sa première année d’études supérieures à l’IUT de Lannion en information-communication, parcours journalisme. Mais ce qui la passionne le plus dans sa vie de tous les jours, c’est la photographie.
Une passion qui traverse les âges
Son intérêt pour la photographie débute au collège grâce à sa grand-mère, « elle adore les activités créatives », ainsi qu’à sa mère, qui voulait devenir photographe plus jeune : « c’était sa passion quand elle avait mon âge ». Mais elle se passionne réellement grâce aux réseaux sociaux, où elle découvre les clichés de nombreux photographes, dont Lucas Hobbé, qui deviendra par la suite son ami.
De l’admiration à la pratique
Après plusieurs années à regarder et observer le travail des autres, Zoé décide qu’elle veut, elle aussi, commencer à pratiquer sa passion. En 2023, sa famille lui achète son premier appareil photo : « J’ai appris à prendre des photos toute seule en m’entraînant ». Elle crée, dans cette même période, un compte Instagram, « zoephotographie_ », où elle commence à poster ses premières photos. « Grâce à ça, j’ai pu avoir des conseils de photographes plus professionnels et spécialisés pour m’améliorer. »
Un amour pour le sport retranscrit grâce à la photo
Même si la photographie prend une place importante dans la vie de Zoé, ce n’est pas son unique intérêt. C’est avec le sport qu’elle commence la photo : « J’ai commencé avec des accréditations non officielles dans mon club de gym et de foot américain ». » La photographie sportive est une discipline à part pour elle : « J’aime quand ça bouge, essayer d’avoir le cliché parfait sur des actions qui se passent une seule fois. » Elle sera accréditée toute son année de terminale par le club de volley de sa ville, qui joue en nationale 2 masculine.
Une passion qui prend de l’ampleur
En janvier 2024, elle remplit un dossier en ligne pour porter la flamme olympique, en mettant en avant son amour pour le sport et la conciliation entre la photo et le sport. Cinq mois plus tard, elle cheminera dans les rues de sa ville. « J’étais fière de la porter, ma famille et mes clubs de sport sont tous venus me voir. » C’est sur cette lancée qu’elle décide de s’orienter vers le journalisme à Lannion : « Je voulais faire un BTS photographie, mais l’IUT me semblait plus intéressant pour accéder au métier que je veux faire ». En effet, Zoé a pour objectif de poursuivre des études de caméraman pour devenir réalisatrice et travailler à son compte.